Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Reyonnah biplace, voiture routière de 1951
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La Reyonnah biplace, cette ancienne voiture fut construite de 1951 à 1954.
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Ce microcar est l'œuvre de M. Robert Hannoyer qui l'a baptisée Reyonnah en 1950 où elle fit son petit effet au Salon de Paris.
- L'idée de son concepteur était de produire un véhicule facile à garer.
- Robert Hannoyer créa une voiturette que l'on pouvait garer dans sa salle à manger.
- Par un système mécanique de parallélogrammes.
- Les deux roues arrières étant très serrées, l'encombrement hors-tout était celui de la carrosserie qui pouvait accueillir deux personnes.
- Réduite de moitié, la largeur passait de 1,45 mètres à 0,75 soit la dimension de la porte d'entrée d' un jardin!
- Le problème il fallait s'accommoder des 200 kg de la machine...
- Ce poids imposait aussi un gros effort aux 8 chevaux du bloc-moteur A.M.C. avançant un 70 km/h peut-être optimiste.
- Jusqu'en 1954, une douzaine de Reyonnah furent produites.
- Son principal handicap l'absence de portières, obligeant le conducteur à une gymnastique.
- Un spectacle qui devait rassembler une petite foule d'amateurs au cas où une dame en jupe accédait à la place arrière...
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Reyonnah ", France 1951 - 1954.
Ce microcar est l'œuvre de M. Robert Hannoyer qui l'a baptisée Reyonnah (son propre nom écrit à l'envers) en 1950 où elle fit son petit effet au Salon de Paris.
L'idée de son concepteur était de produire un véhicule facile à garer non seulement dans la rue, mais aussi chez soi.
La crise du logement qui sévissait en France au lendemain de la guerre entraînait aussi un déficit de places de garages dans les villes.
Robert Hannoyer créa donc une voiturette que l'on pouvait garer dans sa salle à manger, au pire dans un couloir.
Par un système mécanique de parallélogrammes, les roues avant se repliaient sous le nez de la Reyonnah.
Les deux roues arrières étant très serrées, l'encombrement hors-tout était celui de la carrosserie qui pouvait accueillir deux personnes, mais l'une derrière l'autre.
Réduite de moitié, la largeur passait de 1,45 mètres à 0,75 soit la dimension de la porte d'entrée du jardin d'un pavillon de banlieue, où celle du pavillon lui-même !
Le problème était que si l'accès à cette porte était commandé par une volée de marches, il fallait s'accommoder des 200 kg de la machine...
Ce poids imposait aussi un gros effort aux 8 chevaux du bloc-moteur 175 cm3 A.M.C. à soupapes en tête.
Mais Robert Hannoyer ne recherchait pas la performance, avançant un 70 km/h peut-être optimiste.
Jusqu'en 1954, une douzaine de Reyonnah furent produites.
Outre un prix coquet son principal handicap l'absence de portières, obligeant le conducteur à une gymnastique aidée par deux marche-pieds fixés sur le flanc droit de la carrosserie.
Un spectacle qui devait rassembler une petite foule d'amateurs au cas où une dame en jupe accédait à la place arrière...
Source : Encyclopédie des voitures, Edita.
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